Desmond Tutu
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Dans le pays où nous étions, il arrivait qu’un nuage s’assoie sur une maison.
in Marguerite de Porète
La poésie est inutile comme la pluie.
Dors
et si tu es digne du songe
son soleil viendra poser sur ta cuisse
sa grosse gueule de chien tendre
in Chair-ville
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit.
Le reste du temps il s'enrobait d'un peignoir de chloroforme et se couchait sur de la vieille ouate devant les soleils tournant de l'œil à la télévision
in Placenta
Il est incroyable de voir la quantité de personnes qui sont complexées par leur corps et combien si peu le sont par leurs pensées
La corde s'effiloche, semble t-il
Et moi, je ne suis qu'un petit funambule
Et moi, ombre de l'ombre de l'autre
Somnambule aux deux lunes sombres
13 juillet 1914
La nature nous parlera avec le souffle puissant du vent. Il y aura des tremblements de terre, des inondations et des feux étranges en différents endroits causant de grands désastres, des changements dans les saisons. Le temps aussi changera et la vie sauvage disparaîtra. La famine apparaîtra sous différentes formes. La corruption et la confusion grandiront parmi les leaders et les peuples à travers la terre entière, et les guerres surgiront comme des vents puissants.
Le migrant est ce frère qui parie contre la mort. Il quitte tout et repart de zéro. Il n'est pas victime de la détresse mais avocat de l’espoir, il n’appelle pas la charité mais le partage. Figure de proue de l’humanité promise aux pires défis, son exemple est crucial. L’ignorer est un suicide.
l’économie, c’est pas une crise, tu sais
juste une puberté monétaire
les hormones à fleur de bourses
et ceux qui en tiennent les cordons
ne pensent qu’à baiser leur prochain
in Un jour, j’ai pas dormi de la nuit
ne t’approche pas trop
je suis un terrain glissant
in Un jour, j’ai pas dormi de la nuit
le dernier des désastres, le désastre de tous les désastres
à propos de la société de consommation in Écrits corsaires
Comment s’éveille-t-on aux beautés incomparables de ce jardin bordé de nuit ? Comment éprouve-t-on l’urgence d’agir pour ceux qui souffrent ? Pouvons-nous être touchés ? Avons-nous le don des larmes ?
in Révérence à la vie, 1999
On a tordu le ciel qui était beau
in des nuits au mixer