Elaine Alibrandi - Harvest
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Théière fauve pour le temps des thés d’après-midi dans les heures étincelantes et mal apprivoisées du désir.
in La théière
La part du oui qu'il y a dans le non et la part du non qu'il y a dans le oui sortent parfois de leur lit et s'unissent dans un autre lit qui n'est ni oui ni non Dans ce lit court le fleuve des plus vives eaux.
Lors de l’ascension du Cho Oyu dans l’Himalaya, l’étudiante en médecine Johanna tombe dans une crevasse dans laquelle elle découvre avec effroi deux enfants morts de froid. Pendant ce temps, non loin de là, dans un monastère tibétain, Tempa, 8 ans, assiste à une tentative d’assassinat sur la personne du jeune "Golden boy" censé être la réincarnation de Bouddha et succéder au dalaï-lama. Rescapée de son accident, Johanna arrive au monastère et se lie d’amitié avec Tempa. Les moines lui demandent d’accompagner le garçon à Lhassa. Une fois sur place, Johanna apprend que le voyage doit continuer avec un groupe d’enfants en direction de l’Inde. Il va falloir passer clandestinement un col très élevé et les petits ne sont pas équipés pour un tel périple. Johanna est bientôt arrêtée par la police chinoise qui la soupçonne de coopérer avec un militant de la cause tibétaine. Une fois relâchée, elle décide d’aider envers et contre tout le groupe de jeunes fugitifs.
Inspiré de faits réels
Pour son premier film, Maria Blumencron s'est inspirée d'une expérience personnelle dramatique. Fin 1999, elle a suivi et filmé un groupe de Tibétains qui devait franchir le col de Nangpa La (5 700 mètres d’altitude) en direction du Népal puis de l’Inde. Après une intervention des policiers chinois, elle a passé deux jours en prison, tandis que le passeur de son groupe a été détenu et torturé durant deux ans et demi. Une mésaventure que la cinéaste a relatée dans un livre publié en France en 2007. Elle partage désormais sa vie entre Dharamsala, où est installée sa "grande famille" tibétaine, et Cologne.
Comme une muqueuse en relief, le mur saigne à vif.
Ses mille vaisseaux invisibles charrient la couleur de l’impasse.
Le mur ne semble pas souffrir.
Un jour tu te fis gouffre où j’ai jeté toute ma gentillesse
in Ames/sang
la possibilité de jeter le masque en toutes choses
est l'un des rares avantages que je trouve à vieillir.
in Mémoires d'Hadrien
Mordeau de l'album "Audiorama", sorti le 27 mai 2014 on Clapping Music
Pour voir d'autres clips de Timo Hateau et Gérald Fleury :
http://www.youtube.com/user/timohateau