Ari Liimatainen - Alms 2001
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Voltige de lunes dans les ténèbres tamisées.
Visions éclatées de l’oracle.
Je vois l’ange tatoué d’éclipses.
L’âpre déchirement tellurique.
cg in Fugitive (Cardère, mars 2014)
Les gullies sont des ravines linéaires sur des dunes martiennes. Les scientifiques théorisent que les objets brillants sont des morceaux de glace carbonique qui se sont délogés de plus haut sur la pente. Selon la nouvelle hypothèse, cela pourraient résulter des blocs de glace sèche complètement sublimée en gaz de dioxyde de carbone après qu'elles aient cessé de voyager .
" Ces ravines linéaires ne ressemblent pas à des ravines sur la Terre ou d'autres ravines sur Mars, et ce processus ne se produirait pas sur Terre ", a déclaré Diniega . " Vous n'obtenez pas des blocs de glace sèche sur Terre , sauf si vous allez les acheter. "
Pour en savoir plus :
http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2013/11jun_snowboards/
Laurie Lipton est née à New York en 1960 et elle a commencé à dessiner à l’âge de quatre ans. Elle a été la première personne à recevoir un diplôme en Beaux-arts, en dessin (avec distinction) de l’Université Carnegie-Mellon en Pennsylvanie. Elle a vécu en Hollande, en Belgique, en Allemagne et en France et elle réside à Londres depuis 1986. Ses œuvres ont été exposées à maintes reprises partout en Europe et aux États-Unis.
Mme Lipton a été inspirée par les peintures à caractère religieux de l’école flamande. Elle a essayé d’apprendre seule comment peindre dans le style des maîtres néerlandais du 16ème siècle, mais elle a échoué. Alors qu’elle voyageait en Europe quand elle était étudiante, elle a commencé à mettre au point sa propre technique curieuse de dessin, créant des tons avec des milliers de lignes fines hachurées de façon croisée comme l’application de détrempe à l’œuf. « C’est une façon folle de dessiner », a-t-elle déclaré, « mais les détails et la luminosité qui en résultent en valent l’effort. Il faut plus de temps pour créer mes dessins que pour réaliser une peinture d’une grandeur égale et comportant autant de détails.
C’était une forme d’art complètement abstraite et conceptuelle lorsque je faisais mes études universitaires. Mes professeurs m’ont enseigné que l’art figuratif n’était plus à la mode depuis le Moyen Äge et que je devrais m’exprimer en utilisant des formes ; mais des éclats de peinture sur une toile et des pierres par terre m’ennuyaient. Je savais ce que je voulais. Je tenais à créer quelque chose que personne n’avait jamais vu auparavant, quelque chose qui mijotait dans ma tête. J’avais l’habitude de m’asseoir pendant des heures à la bibliothèque et je copiais des oeuvres de Durer, Memling, Van Eyck, Goya et Rembrandt.
La photographe, Diane Arbus, fut l’une de mes inspirations. Son utilisation du noir et du blanc m’a ébranlée au plus profond de mon être. Le noir et le blanc constituent les couleurs des vieilles photos et des anciennes émissions de télévision... c’est la couleur des fantômes, de l’envie, du temps qui s’écoule, des souvenirs et de la folie. Le noir et le blanc ont mal. J’ai compris que c’était parfait pour la création d’images dans mon travail.
Peintre russe, né à Moscou le 20 juin 1839 et mort à Saint-Pétersbourg le 17 septembre 1915.
FÛTILEMENT VOTRE
Un brin de folie clandestine en guise de corde
Les parois du rêve sont glissantes
Si par mégarde je m’approche trop de toi, tu me fais signe
Et je me prosterne, avec des oiseaux plein les poches
L’égalité des chances est une idée saugrenue
Le bonheur peut soudain faire mal à la tête
Que peut-on dire quand tout a été dit ?
Un mensonge
Qu’est ce qu’un amour offert si tendrement ?
Une fleur sur un champ de bataille ?
Et qu’est-ce qu’un amoureux
Sinon un terrien ivre
Sur une étoile filante
Baiser n’est qu’une façon distinguée de passer un samedi soir
Mais le cœur naufragé est un cercle qui ne se définit pas.
CG 2001
in Tobogan de velours
Né le 2 mars 1973, à Springfield dans le Missouri, Kris Kuksi a passé sa jeunesse dans la solitude et l’isolement, au milieu de la campagne américaine. Entre un père absent, une mère qui travaille, deux frères bien plus âgés que lui et un beau père alcoolique, Kris Kuksi a développé un imaginaire très riche pour échapper à une réalité difficile. Sa fascination pour l’insolite, le macabre et le grotesque, a été une constante chez lui depuis l’enfance. Kris Kuksi crée des sculptures complexes, à base de jouets recyclés, où le baroque fusionne avec un monde moderne industriel. Un processus qui exige d’innombrables heures à assembler, rassembler, manipuler, couper des milliers de pièces, qui finissent par s’unir dans une cohésion orchestrale. Chaque sculpture incarne les marques de sa philosophie comme la chute de la civilisation dont les maux sont la cupidité et le matérialisme. Et il dessine et peint aussi...
Creuser le temps, 2012
Détachés du corps, 2012
Marche noire, 2012
Je ne parle pas à l'oeil (mais à l'âme)
Les inutilités nécessaires
Les Vénus
Personnage noir sans même y penser
Porte parole
Marche tranquille
L'empreinte, 2012
La fuite du temps, 2012
Poète et artiste en arts visuels de la ville de Québec. Il explore tour à tour et ensemble les langages poétiques et plastiques. Dans son travail, il retranscrit plastiquement la parole écrite et peinte. Par ses œuvres, il crée des traces. De nos paroles. De nos silences. De nos présences. Il peint et sculpte,en explorant toutes les matières. Il écrit aux éditions Le Loup de Gouttière de la poésie, des nouvelles et des contes jeunesse. Nomade dans l'âme il présente depuis plus de vingt cinq ans ses images et ses mots à travers le monde. |
http://gabriellalonde.blogspot.fr/
De la série Inshallah, Afghanistan
De la série Holi, Holi Festival en Inde
De la série Inshallah, Afghanistan
Qui empile les constructions mentales, mathématiquement est foutu.
Rien à atteindre sinon le hors d’atteinte. L’essence du rêve.
Un pli imaginaire, un sein de coquillage.
Tenter de fixer à l’encre de chine, l’extase insolente du fossile.
Cg in Le poulpe et la pulpe (Cardère 2011)
Chaman
La vision du chaman