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CATHY GARCIA-CANALES - Page 48

  • Georges Didi-Huberman & Niki Giannari

    (...) Après tout, les réfugiés ne font que revenir. Ils ne « débarquent » pas de rien, ni de nulle part. Quand on les considère comme des foules d’envahisseurs venus de contrées hostiles, quand on confond en eux l’ennemi avec l’étranger, cela veut surtout dire que l’on tente de conjurer quelque chose qui, de fait, a déjà eu lieu : quelque chose que l’on refoule de sa propre généalogie. Ce quelque chose, c’est que nous sommes tous des enfants de migrants et que les migrants ne sont que nos parents revenants, fussent-ils « lointains » (comme on parle des cousins). L’autochtonie que vise, aujourd’hui, l’emploi paranoïaque du mot « identité », n’existe tout simplement pas et c’est pourquoi toute nation, toute région, toute ville ou tout village sont habités de peuples au pluriel, de peuples qui coexistent, qui cohabitent, et jamais d’« un peuple » autoproclamé dans son fantasme de « pure ascendance ». Personne en Europe n’est « pur » de quoi que ce soit — comme les nazis en ont rêvé, comme en rêvent aujourd’hui les nouveaux fascistes — et si nous l’étions par le maléfice de quelque parfaite endogamie pendant des siècles, nous serions à coup sûr génétiquement malades, c’est-à-dire « dégénérés ».


     
     in Passer, quoi qu’il en coûte

     

     

     

     

     

     

  • Atelier Collage & écriture du 12 décembre 2023 - Cahors

    collage Liliane déc 2023.jpg

    L.

     

    Bille_pinceau_peintre_acidulé_modèle

     

     

     

    Roule tes billes et mange ton pinceau, grogne entre ses dents la modèle, agacée par l’univers prévisible acidulé du mec empapillonné qui se prend pour un peintre, même pas du dimanche, adulé par sa maman.

    B.

     

     

    *

    Granulés, silices, billes acidulées, le goût du bonbon emporte l’inspiration du peintre, les pieds dans l’eau. La jolie dame et ses pinceaux, trace légèrement les couleurs sur les ailes des nœuds papillons. On regarde à partir de ses modèles, cette vie colorée à travers les images de son esprit. 

    J.

     

     

    *

    Assis sur son tabouret, les pieds dans l'eau tiède, le peintre pose ses pinceaux. Ébloui de soleil, il s’échappe, emporté par le souvenir du chapiteau de son enfance. Il ne voit plus son modèle mais les nœuds-papillons du clown blanc et les billes acidulées du jongleur qui roulent à ses pieds, torrent de larmes de feu.

    O.

     

     

    *

    Alors que la peintre fait une pause, son modèle glisse sur un tapis de billes acidulées, si lentement, que nul ne s’aperçoit, qu’en douce, il s’est éclipsé du tableau. La peintre, après avoir bu son café, n’a alors plus retrouvé que la plage nue, le ciel, la mer, les falaises au loin, les nuages et les petits nœuds papillons dans son ventre, à leur tour, se sont envolés. La voilà qui se fige, le pinceau en l’air, avant de plonger à son tour dans la plus profonde sérénité.
    C.

     

     

    *

    La peintre a des couleurs acidulées dans la tête. Billes multicolores et papillons de pacotille virevoltent d’un modèle à l’autre. Ses yeux et ses pinceaux n’arrivent pas à suivre le cheminement de ses pensées vagabondes. Son tableau, fade, la déçoit. Encore une fois.

    L.

     

     

     

    collage du 12 décembre 2023 Nous sommes tous des créoles.jpg

    O.

     

    Voilette_souris_plastique_embrasement_colombe

     

     

     

    Est-ce que tu sais que les colombes naissent dans les choux ? demande la nonne sous sa voilette-cornette. J’ai oublié de faire ma toilette ce matin et ma petite souris n’est pas en plastic, glousse-t-elle entre deux embrasements. Je ne suis pas prête pour le miracle de l’immaculée conception, même en pays créole.

    B.

     

     

    *

    Personnages de plastique enlacés, tragiques et si froids, peut-on voir un peu de vie dans ces deux-là ? Tout comme les charmants représentants ecclésiastiques, cornettes voilettes et col blanc, fou d’amour, fou de dieu.
    Dans le jardin d’éden, pousse les choux ?? Il y a dans cet embrasement, la souris et la colombe qui se demandent ce qu’ils foutent là. 

    J.

     

     

    *

    Avec une voilette, l’embrasement des sens aurait été moindre et le blasphème moins grand. On est loin des contes de fées, des bébés qui naissent dans les choux, des mignonnes bestioles de dessins animés : souris, panthère rose et autres colombes froufroutantes. La princesse est une poupée en plastique au pied d’un bidonville.

    L.

     

     

    *

    Un baiser à la volée, à la volette, à la voilette et vole la cornette, colombe dans les choux, triste panthère, blonde plastique, nous sommes tous des créoles incrédules, des cavaliers de la plaine, des maisons à l’abandon. Noces improbables, un rongeur pour témoin. Elle sourit la souris ? Nul ne le sait et peu importe. Un baiser, crie la souris, un baiser pour un paradis ! et tout le monde d’applaudir au moindre embrasement mais à la fin, c’est le vide qui gagne.
    C.

     

     

    *

    Dans la vaste plaine d’un monde déchu, sœur Marie et Don José convolent en premières noces sous le regard  atterré d’une icône en plastique. Pas de voilette pour Marie mais la cornette des bons et mauvais jours. Pour témoins, la souris verte qui courait dans l’herbe et les colombes de la paix . Elles naissent dans les choux, c'est bien connu ! Nous sommes tous des créoles ; embrasement des idées reçues, les cahiers au feu et la maitresse au milieu.

    O.

     

     

     

     

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    B.

     

     

     

    Aujourd’hui baptême de l’enfant aux yeux noirs. L’eau et le feu effacent les péchés, dit-on ! La prière et les gris-gris favorisent la rédemption... Ce soir, des hommes emmitouflés de duvet ressemblent à des vierges. 
    Tous vont s’agenouiller pour un nouveau monde, restez assis, tous ces efforts de pacotille ne mènent à rien ! 

    J.

     

     

    *

    Le feu s’est éteint. Les mains, les bras protecteurs, n’atténuent pas le reflet de duvet noir dans les yeux de l’enfant. Il a le regard à l’envers malgré les dieux, les prières. Il a connu le baptême pourtant, le bain sacré. La rédemption passera peut-être par le rire quand l’enfant et le petit singe joueront ensemble.

    L.

     

     

    *

    Retirer la botte du malheur

    duvet noir séculaire sur les pays en guerre

    baptême du feu pour les enfants

    aucun signe de rédemption

    sous les bombes

    quelle croyance pour quel Dieu ?...

    O.

     

     

    *

    Baptême… Après le feu, la cendre, à après la cendre, l’eau glacée. « On fera de toi un homme, mon fils ! » mais le fils ne veut pas reprendre la botte du père et il agite le duvet noir de ses ailes. Il y a des héritages qui sont trop lourds à porter, le fils veut voyager, le fils veut s’envoler et aller chercher ailleurs une rédemption pour sa lignée. Après le feu, la cendre, après la cendre, l’eau glacée pour laver les crimes des seigneurs de guerre et fortifier les corps des anges de paix.
    C.

     

     

    *

    Enfile ta botte et tiens-toi tranquille, ordonne la guenon à l’homme dont l’enfant au regard noir plonge dans l’eau si glacée du baptême que le feu de la rédemption embrase la culotte de l’idole, dont le duvet, caché à cet instant, promet une charge contraire à l’honneur masculin.

    B.

     

     

     

    Collage déc 2023.jpeg

    J.

     

    Crabe_voyeur_culotte_chute_insecte

     

     

     

    La présence d’un crabe dans la culotte d’une star est toujours un signe prometteur dans le regard voyeur de pères obsédés par la chute de reins lascive d’une blonde offerte au regard, comme la fleur à l’insecte.

    B.

     

     

    *

    L’insecte, comme un voyeur, s’immisce dans la culotte de la femme à la chute de rein indécente. Elle aime bien jouer toute seule au jeu du crabe à cinq pattes face à son miroir. C’est son péché mignon.

    L.

     

     

    *

    Miroir, mon beau miroir, dis-moi si je suis la plus belle… J'ai tant espéré…mais des promesses, des espoirs, toujours ! J'ai eu beau exposer mes fesses et mes jolies culottes au regard des voyeurs, je ne suis pas devenue une star pour autant. Anéantie par le crabe, ma vie fut une suite d’épreuves. Chute de mes rêves. Ils se sont envolés avec les insectes fous…

    O.

     

    *

    J’ai un crabe dans la culotte et des insectes qui grouillent sur ma chute de rein… L’effet que me font vos regards de voyeurs ! J’en ai connu des hommes, les prometteurs : tu seras une star entre mes mains me disait l’un, je serai un bon père, me disait l’autre, chaque jour je t’offrirai des fleurs me chuchotais celui-là, dès que je t’ai vue, je t’ai reconnues, me susurrait celui-ci, j’étais la femme de leur vie, toujours mais je ne supportais pas leurs pinces dans ma culotte, leurs petites pattes velues sur mes reins, les morsures à leurs promesses, d’être la star de leurs salle de bains alors j’ai choisi d’être la femme de ma vie et de vivre libre et en paix. J’ai brisé tous mes miroirs.
    C.  

     

     

    *

    Les crabes et insectes chemisés d’or et de perles chatouillent la chute de rein de la star. Il existe un monde perdu où l’on cite le Cid 
    Ah ! mon père ! Hélas ! pleurez ! pleurez mes yeux ! Tombez triste rosée qu’un rayon de soleil ne doit jamais tarir ! Pleurez mes yeux ! 
    Tous ces yeux rivés dans la culotte !! Non ce ne sont pas des voyeurs, ni des voyous, ils pleurent et ils admirent. C’est tout. T'as de beaux yeux tu sais... 

    J.

     

     

     

    Chat noir.jpg

    C.

     

    Fer_tragique_roubignoles_aise_hypnose

     

     

     

    Tragique destinée de roubignoles, même pas en fer et pourtant gonflées d’aise et de satisfaction, comme les biscoteaux du type sûr de son pouvoir d’hypnose. Heureusement, le chat dans la main de l’homme et l’oiseau dans mes yeux – ah merde, c’est l’inverse – savent que l’amour se fait en solitaire.

    B.

     

    *

    Le chat, aux yeux tragiques et interrogateurs, fixe les roubignoles du lion, je pense qu’il en rêve... « Peut-on avoir des attributs aussi sympathiques, se dit-il "...Enfin rien n’est plus beau pense Eve, même son amant les envisage. Mais vraiment une séance d’hypnose sera nécessaire pour le consoler. 

    J.

     

    *

    Madame Irma, avec l’aide de son chat, te met en état d’hypnose. À l’aise, décontracté du slip, les roubignoles en liberté, tu te laisses dériver loin du tragique de l’univers. Au réveil, les quatre fers en l’air, tu te demandes si les plus belles déclarations d’amour se font en solitaire. 

    L.

     

    *

    C'est l'histoire tragique d'un chat despote qui a chassé tous ceux qui prenaient leurs aises auprès de sa maîtresse. Exhiber leurs roubignoles au soleil pour sentir la caresse du vent semblait leur obsession, il avait leur attitude en horreur ! Il les aurait dévorées volontiers, mais  il n'allait pas croiser le fer avec tous les amants qui se présentaient. Il essaya de s'intéresser aux oiseaux comme le font ceux de sa race. Pas motivé et dépressif, il tenta l'hypnose. Il n'a hélas pas supporté la dernière séance, il est mort, l’état de conscience altéré, toujours perclus d'amour.

    O.

     

     

    *

    Mâle fort, mâle alangui, mâle à l’aise, mâle à roubignoles de fer, mâle de rêve, mâle d’enfer, et tourne, tourne la Terre ! Tragiques romances qui font chercher l’envol, alouette piégée dans les miroirs… à tout ça je préfère les yeux de mon chat noir, hypnose volontaire, les plus belles déclarations d’amour, se font en solitaire.
    C.

     

     

     

    Merci à toutes et à l'année prochaine !!!

     

     

     

     

  • Éric Barbier - entretien avec Éric Chassefière - Francopolis, déc. 2023

    Dans le dernier numéro de l'année de Francopolis, la joie de lire et relire un ami de plume comme Eric Barbier dans un entretien avec Éric Chassefière (quelques extraits ci-dessous) qui a repris la revue et les publications d'Encres Vives de Michel Cosem.

     

     

    Le très proche lointain, le vol d’un aigle ou d’un vautour – ‘l’oiseau même seul est un grand peuple’ – une vive lumière sur les adrets, le voyage de la roche immense. Ce qui ainsi par ce souffle rapproche les mots, là où le poème se fait chemin.

     

    (…)

    la beauté relève de ce qui échappe aux définitions. La beauté, prétention ou réalité, une insurrection au plus près de soi, l’éphémère, le dérobé, l’agitation du temps dans l’image provisoirement immobile.  La beauté, tentation à poursuivre, elle qui devrait nous préserver de l’inattention, nous permettre de reprendre vie.

     

    (…) Le poème devrait faire apparaître cette mémoire qui sans vouloir recourir sans cesse au passé, dans un vivifiant tremblement, offre l’histoire à notre présent ; cette mémoire que la beauté éveille, langue singulière parole dénuée d’ornements, pour retrouver ce que les hommes ont en partage.

     

    (…) avancer par ses moyens dans les plus sérieuses ombres vers la pointe du dénuement pour voir apparaître une rive différente, pour arpenter un sol qui ne cède pas.

     

    Et sont publiés à la suite de l'entretien des poèmes inédits donc voici quelques extraits également :

     

    (...)

     

    L’entretien infini renverse le crépuscule

    se reposer dans un temps éloigné

    tout retrouver ne rien reconnaître

    tout deviner ne rien apprendre

    rester à vue : la main elle

    voudrait reprendre le témoignage de

    cette jouissance stupéfaite qui épouse

    la rousseur de la roche.

     

    Le vent après avoir livré

    cent-douze histoires à

    l’assemblée des carex disperse

    l’apprentissage résigné de l’homme.

     

    (…)

     

    J’ai retiré mes yeux

    de la nuit qui s’avançait

    peut-être ces cris l’occupaient-elles

    splendeur distante

    lumière d’après les orages

    telle la pierre lancée

    dans l’accalmie du ruisseau

    ou la graine échappée du fruit

    goûté lors d’un songe tumultueux

    je tente une présence parmi

    l’alphabet en friches

    de la commune obscurité.

     

    (…)

     

    Eaux violentes nouveaux prétextes

    elle vivrait déjà en nous

    cette charbonneuse patience

    la débauche du soleil

    débordera les maisons

    nous en boirons les mémoires

    à gorge primitive

    le visage doucement ébréché

    par les semblants du crépuscule.

     

     

     

     

    Hors de souffle

    hors de portée

    hors d’atteinte

    une saison trompeuse

    invite à ne plus rien quitter

    au plus près il ne s’agit

    ni de peur ni de mort

    tout reviendra

    dans un jour différent

    tout se répètera

    pour mieux nous abandonner

    hors de souffle.

     

    (…)

     

    Le soleil s’étend prudemment

    dans ta bouche

    genévriers bouses sèches

    douceur abrupte de la neige tôt venue

    évidence qui ne devra être répétée

    ni mutisme ni aveux

    savoir exactement

    ce qui pourra être déclaré

    les nuages rabrouent la pâleur nouvelle des versants

    lumière rase yeux courbés

    au retour s’imposent d’anciennes réponses.

     

    *

     

    Boire une gorgée pour

    saluer les autres saisons

    de l’homme ciel

    confédération de nuées

    la beauté devient un

    instant tendu entre

    deux absences une mer

    somnolente d’orties

    peuple plusieurs imaginations

    laquets bruyères fleuries

    virtuosité herbeuse de l’été.

     

    *

     

    Eaux blanches

    Eaux brunes

    écume de mai

    la neige tardive reste gardienne de leurs chants

    fragile perpétuité arbres sentinelles

    près du col

    pierres belliqueuses

    réconciliées dans le bleu du ciel

    Eaux blanches

    Eaux brunes

    comme tout ce qui difficilement s’énumère

    la beauté accueille voluptueusement nos interrogations

    reste l’abandon

    des guides

    nulle distance entre espoir et devenir

    Eaux blanches

    Eaux brunes

    aucune question ne sera retenue

    splendeur mal retranscrite

    où se rassemblent les

    vertus dissipées du jour.

     

    *

     

    Chaleur incrédule

    ciel fou d’exactitude

    une fête s’annonce

    l’été déjà la sait ultime

    dernières rumeurs d’une célébration

    reste une promesse dont personne

    ne certifiera l’accomplissement

    mais

    quel corps justement devrait

    se donner aux nuages tardifs

    mutisme sans réponses

    baiser profond sur les lèvres

    inattendues du rocher.

     

    *

     

    Cette lumière

    que l’on ne peut nommer

    marcher à distance nécessaire

    de l’ombre qui me suit

    repos fleurs méconnues

    ignorance que n’éteindrait

    aucun livre

    roche sévère comme

    une jeunesse sans mensonges

    le temps et le sentier

    se dérobent sous le pas

    longue présence

    mémoire que

    chaque jour

    retrouve.

     

    *

     

    Ce qui n’était

    même ruisseau

    prend langue de glace

    la mort

    ne porte pas un nom fidèle

    sur la lente vitre

    le jour naissant

    confirme

    l’indiscipline ouvragée

    du temps.

     

    *

     

    Lumière difficile

    la chaleur qui l’épuise

    doit provenir des temps

    les mieux oubliés

    et voilà comme image

    celle d’un homme

    qui parlerait d’autres saisons

    sur le chemin

    la poussière de l’été

    improvise certains détours.

     

    (...)

     

     Source : http://www.francopolis.net/salon2/E.Barbier-NovDec2023.html

     

     

  • COMMENT SE PROCURER MES LIVRES

     

     

     

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    COUV T3.jpgCALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 3, à tire d'ailes, 2023, photomontages de l'auteur en couv, 52 pages agrafées, 12 € 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2023/08/30/avis-de-parution-les-tomes-2-3-de-mes-calepins-voyageurs-et-6458914.html

     

     

    COUV T2.jpgCALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 2, à tire d'ailes, 2023, dessins originaux de François Pouch & photomontages de l'auteur en couv, 52 pages agrafées, 12 € 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2023/08/30/avis-de-parution-les-tomes-2-3-de-mes-calepins-voyageurs-et-6458914.html

     

     

    COUV.jpgJE L'AIME NATURE, à tire d'ailes, 2023, illustration d'Anouk Rugueu en couverture, 36 pages agrafées, 10 € 

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    COUV Recto small.jpgLE LIVRE DES SENSATIONS, à tire d'ailes, 2023, illustration de l'auteur en couverture, 52 pages agrafées, 12 € 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2023/02/03/avis-de-parution-le-livre-des-sensations-6426271.html

     

     

     

    COUV TOME 1 SMALL.jpgCALEPINS VOYAGEURS ET APRÈS ? Tome 1, à tire d'ailes, 2022, dessins originaux de François Pouch & photomontages de l'auteur en couv, 52 pages agrafées, 15 € 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2022/07/20/avis-de-parution-immediate-calepins-voyageurs-et-apres-tome-6392985.html

     

     

     

    couv small.jpg

    LE BAUME, LE PIRE  & LA QUINTESSENCE, à tire d'ailes, 2022, encre de l'auteur en couv., 52 pages agrafées, 12 € 

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    COUV.jpgPETIT LIVRE DES ILLUMINATIONS SIMPLES, à tire d'ailes, 2021, 44 pages agrafées, format A6 à l'italienne, 8 € http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2021/12/02/avis-deparution-petit-livre-des-illuminations-simples-6352797.html

     

     

    COUV small.jpgHISTOIRES D'AMOUR, HISTOIRE D'AIMER, à tire d'ailes, 2021, collages de l'auteur, 44 pages agrafées, 12 € 

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    couv scan small.jpgMON COLLIER DE SEL, à tire d'ailes, 2020, illustrations originales n&b de l'auteur, 36 pages agrafées, 12 € http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2020/11/02/deuxieme-avis-de-parution-mon-collier-de-sel-6274205.html

     

     

     

    COUV.jpgÀ LA LOUPE, TOUT EST RITUEL, à tire d'ailes, 2020, illust. originales n&b de l'auteur, 52 pages agrafées, 12 € http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2020/05/25/vient-de-paraitre-a-la-loupe-tout-est-rituel-6241210.html

     

     

     

    COUV.jpg

     

    PANDÉMONIUM II, à tire d'ailes, 2019, illust. originales n&b de Joaquim Hock, 48 pages agrafées, 12 € http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2019/08/30/avis-de-double-parution-pandemonium-ii-et-toboggan-de-velour-6172851.html

     

     

     

    COUV.jpgTOBOGGAN DE VELOURS à tire d'ailes, 2019, collages en couleur de l'auteur, format vertical 10,5  x 20,5 cm, 32 pages agrafées,10 €

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    001.jpgCELLE QUI MANQUE, à tire d'ailes, 2019 (réédition), photo en couv. de l'auteur, 48 pages agrafées, 12 €

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2019/05/09/celle-qui-manque-de-nouveau-disponible-6149715.html

     

     

     

     SURSIS COUV tirage de tête small.jpgSURSIS, à tire d'ailes 2017, neuf collages papier originaux, 28 pages agrafées, tirage limité et numéroté sur papier recyclé haut de gamme, 10 € (tirage de tête en couleurs : épuisé)

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2017/10/10/avis-de-parution-sursis-micro-fictions-poetiques-et-collages-5987844.html

      

      

    D'OMBRES COUV small.jpgD'OMBRES, à tire d'ailes, 2017, illustrations originales n&b de l'auteur, 48 pages agrafées, tirage limité et numéroté, 10 € 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2017/03/08/vient-de-paraitre-d-ombres-5919155.html

     

     

    couv small.jpgPURGATOIRE  QUOTIDIEN, à tire d'ailes, 2014, (réédition du Mi(ni)crobe 32 publié par la revue belge Microbe, 2012), illustration de l'auteur en couv., 24 pages agrafées, 5 €

    http://cathygarcia.hautetfort.com/archive/2014/12/09/purgatoire-du-quotidien-5506817.html

     

     

    IMG_0001.jpgMYSTICA PERDITA, à tire d'ailes, 2009, illustrations originales n&b de Jean-Louis Millet, postface de Werner Lambersy, 40 pages agrafées, 12 €

     http://delitdepoesie.hautetfort.com/recueil-mystica-perdita-2009/

     

      

    sans-titre.jpgNOUVELLE HISTOIRE DE LA CHÈVRE DE MONSIEUR SEGUIN (conte) à tire d'ailes, 2008,  illustration originale n&b de Michèle Martinelli en couverture, 17 pages agrafées, 5 €

     http://delitdepoesie.hautetfort.com/archive/2014/09/27/nouvelle-histoire-de-la-chevre-de-monsieur-seguin-2008-5456104.html

     

      

    couverture.jpgCHRONIQUES DU HAMAC, à tire d'ailes, 2008, photos couleurs, 56 pages agrafées,14

     http://delitdepoesie.hautetfort.com/archive/2008/09/06/nouveau-recueil-chroniques-du-hamac.html

     

     

     

     

    anch.jpgLES ANNÉES CHIENNES Série autodigestion, à tire d'ailes, 2007, illustrations originales n&b de Marie Bouchet, 52 pages agrafées, 10 €

    http://delitdepoesie.hautetfort.com/archive/2007/02/25/les-annees-chiennes-vient-de-paraitre-en-auto-edition.html

     

     

     

    salin.jpgSALINES, à tire d'ailes 2007, illustrations originales n&b de Katy Sannier, 44 pages agrafées, 12 €

    http://delitdepoesie.hautetfort.com/archive/2013/01/07/salines-retour-a-l-autoedition.html

     

     

     

    Jardin du causse scan couv small.jpgJARDIN DU CAUSSE, à tire d'ailes 2004, illustrations originales n&b de Joaquim Hock, préface de Mireille Disdero, postface de Patrick Devaux, 88 pages agrafées, 13 €

     

    http://delitdepoesie.hautetfort.com/archive/2013/01/07/jardin-du-causse-retour-a-l-autoedition.html

     

     

     

     

     

    Pour les publications Nouveaux Délits :

    à commander par mail à nouveauxdelits@orange.fr (port : 3 ) :

     

    CALEPIN PAISIBLE D'UNE PÂTRESSE DE POULES, 2018 

    GUERRE ET AUTRE GÂCHIS, 2014 

    POÈMES FOLLETS & CHANSONS FOLLETTES POUR GRAND PETITS & PETITS GRANDS, 2013 

    CLAQUES & BOXONS, 2013 

    AILLEURS SIMPLE, 2012 

    ÉTATS DU BIG BANG, 2010  

    ou voir ici :

    http://associationeditionsnouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2013/09/19/pour-commander-des-livres-5176019.html

     

     

     

    Pour mes autres publications vous pouvez me les commander directement également, notamment si vous souhaitez une dédicace, ou chez les éditeurs concernés : 

     

    CardèreAujourd'hui est habitable, 2018 ; Fugitive, 2014 ; Les mots allumettes, 2012 ; Le poulpe et la pulpe, 2011 https://cardere.fr

     

    Gros Textes : Le Tarot de Saint Cirque (avec Lionel Mazari), 2020, Bonzaïs hallucinogènes, 2017 et Trans(e)fusées, 2015 https://sites.google.com/site/grostextes/

     

    Encres Vives : Ombromanie, 2007

     

    mgv2>publishing : Des ourses dans le ciel, 2015 ; Asphodèle : Un vanity de vanités, 2012 ; Celle qui manque, 2011 ; éditions de de l'Atlantique : Jardin du causse, 2010 et Eskhatiaï, 2010.

     

    Biblio complète ici : 

    http://cathygarcia.hautetfort.com/biblio-d-un-seul-coup-d-oeil/