Auteur anonyme - Monument of fallen god - photomanipulation
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Si l'on ne croit pas à la liberté d'expression pour les gens qu'on méprise,
on n'y croit pas du tout.
Grands cheveux, jambes à l’air,
Et par-dessus, un vent rouge et rose
Tout est relatif, vice pour l’un, vertu pour l’autre et vice et versa. Je crois en une bonté innée, plus ou moins enfouie chez l’humain. Heureusement, sinon oui, le monde ne serait qu’un enfer. Ce qui n’empêche que je crains l’humain plus que n’importe quoi d’autre. J’ai peur de l’incompréhension, de la séparation, sources de toute misère. Je souffre des rapports humains autant que je les aime. Sans cesse attirée, repoussée. Je cherche l’équilibre, ce « lieu » où attraction et répulsion s’annulent. L’amour mais pas l’envie, le désir mais pas le besoin, la profondeur sans la chute, la hauteur sans vertige.
cg in Journal 1995
N’être
ni le passeur
ni le trépassé
ni le chien féroce
ni la barque
être
l’eau
in Passage