Kenichi Hoshine
Et tu dors encore
D'un profond sommeil
Et tu rêves encore
Mon enfant de miel
cg 1995
in Magie Douce
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Et tu dors encore
D'un profond sommeil
Et tu rêves encore
Mon enfant de miel
cg 1995
in Magie Douce
L’atmosphère est nimbée de flocons de pollen, anges minuscules qui chutent en silence. Chacun sa chance de prendre racine et vivre encore, sous une autre forme…Mourir, renaître, mourir…
cg in Journal 1999
J’aime la grâce du vent
Dans tes branches
J’aime ton silence et le battement
De mon cœur contre le tien
cg in Arbre, 2006
Heureusement qu’il y a quelques chose d’assez tropical en moi pour ne pas être trop sèche, trop fuyante, trop aérienne, trop dans ma tête quoi, car elle me fourvoie bien des fois, pour ne pas dire toujours.
cg in Journal 2000
L'amour a besoin de sang frais, l'amour n'est qu'une illusion, la plus belle peut-être. C’est aussi la lame qui déchire le voile.
cg in Calepins voyageurs et après ?
L’aube originelle se fraye un chemin au travers les ténèbres contractées, elle en émerge enfin, écorchée, écarlate. La pluie se mêle à la lumière. Noces sanguines pour baigner la nouvelle-née.
cg in Calepins voyageurs et après ?
Des pensées à trimballer sur la route, quelqu’un qui fera battre mon cœur un peu plus vite,
donnera à mon regard un brin de douce mélancolie.
cg in Journal 2000
Mon impuissance à échapper à ce tourment m’exaspère, un gouffre s’est ouvert sous mes pieds et dans ma chute sans fin je ne distingue ni le vrai, ni le faux. Tout n’est que tourbillon, confusion.
cg in Calepins voyageurs et après ?
Et laisser aller
L’âme assoiffée
Qu’elle trouve
Une source.
cg in Le baume, le pire et la quintessence
Je suis dans un état très étrange, un bien-être très voluptueux. Je plane à des milles dans des paysages éthérés. J’ai une envie de pleurer dont la douceur est presque trop belle. Je n’ai envie de rien, je rêve… Mon corps palpite, bouleversé par une alchimie secrète qui travaille ma chair…
cg in Journal 1995
J’entends rire les arbres et pleurer aussi.
Et tout leur travail d’arbre
cg in Terre du Quercy, 2009
L’époque, le pays, les mœurs, tout me paraît étranger sauf cette terre, bonne vieille terre. L’eau, le vent, la roche, le sable, ça je connais.
cg in Chroniques du hamac, 2008
Envie d’appeler le chat encore, mais c’est inutile, alors ne plus y penser, s’en remettre à ce qui est et jouir encore de la chaude lumière. Relever la jupe, si le chat a disparu, ma chatte elle, est bel et bien là, et elle aime sentir la caresse solaire sur sa toison douce.
cg in A la loupe
Comment être homme en adorant le féminin ? Pourtant, il n’y a pas homme plus réalisé que celui qui y parvient, sans redevenir l’éternel fils de la mère, éternellement dépendant, éternellement méfiant.
cg in Journal 2002
Fast-culture, junk culture, la superficialité hissée comme art de vivre.
cg in Journal 2002