CITATIONS - Page 3
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Et moi, je passe mon temps à rêver d'un univers où l'hommene viendrait pas au monde parmi des étrangers mais parmi ses frères.in La valse aux adieux
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Guoxi
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César Vallejo
Aimé soit l’enfant qui tombe et pleure encore
et l’homme qui est tombé et ne pleure plus.
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César Vallejo
À cette heure froide où la terre
sent si fort la poussière humaine, si tristement,
je voudrais frapper à chaque porte,
supplier quelqu’un : pardon,
et lui préparer des petits morceaux de pain frais
ici, dans le four de mon cœur.
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Paul Celan
Le poème peut être une bouteille jetée à la mer, abandonnée à l'espoir - certes souvent fragile - qu'elle pourra un jour, quelque part, être recueillie sur une plage, sur la plage du cœur peut-être.
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Etty Hillesum
il ne s'agit déjà plus de vivre, mais de l'attitude à adopter face à notre anéantissement
in Lettres de Westerbock
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Carl Gustav Jung
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Eugène Varlin
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Henry Ford
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Anais Nin
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Albert Einstein
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Mahmoud Darwich
Les souvenirs sont parfois l’identité des étrangers. Mais le temps s’unit au souvenir. Il enfante des réfugiés que le passé abandonne et laisse sans souvenir.
(…)
Il y a des morts qui sommeillent dans des chambres que vous bâtirez. Des morts qui visitent leur passé dans les lieux que vous démolissez. Des morts qui passent sur les ponts que vous construirez. Et il y a des morts qui éclairent la nuit des papillons, qui arrivent à l'aube pour prendre le thé avec vous, calmes tels que vos fusils les abandonnèrent. Laissez donc, Ô invités du lieu, quelques sièges libres pour les hôtes, qu'ils vous donnent lecture des conditions de la paix avec les défunts.
in La terre nous est étroite et autres poèmes (2000)
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Hubert Reeves
Il ne s'agit pas de fuir la réalité, mais de la vivre avec passion. L'éveil de la jubilation est, je crois, l'antidote le plus efficace contre l'absurde à tous les degrés.
in L'Heure de s'enivrer : L'univers a-t-il un sens ?Bon retour vers les étoiles Monsieur Reeves, sûr qu'elles vont vous faire bon accueil ! ✨
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Santoka (1882-1940)
de retour je mets de l'ordre
au loin les montagnes
couvertes de neige
in zen saké haiku -
René Dumont