Jacques Brel
Comme je dis souvent : il est urgent d’attendre.
Sancho à Don Quichotte
in L'Homme de la Mancha
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Comme je dis souvent : il est urgent d’attendre.
Sancho à Don Quichotte
in L'Homme de la Mancha
Merci au Musée Improbable !
Belle et émouvante adaptation turque du film sud-coréen "Miracle In Cell N°7" de Lee Hwan-
Ayant fait un houmous pour ce soir, j'avais deux peaux de citrons toutes fraiches sous la main, j'ai eu envie de faire une surprise à ma fille qui veut goûter les tulipes depuis quelques jours depuis qu'elle a appris que c'était comestible . J'ai donc mis les deux restes de citron à macérer dans du lait de riz, une trentaine de grammes de sucre, et deux beaux pétales de tulipe jaune. Puis, j'ai porté ce mélange à ébullition à feu très doux, histoire que le lait prenne bien les parfums. Pendant ce temps, j'ai battu deux œufs entiers, avec 30 gr de sucre, jusqu'à ce que le mélange soit bien blanchi et mousseux, j'ai rajouté ensuite environ 90 gr de farine de petit épeautre, fouetté encore, puis j'ai versé en le filtrant le lait, fouetté encore, remis dans la casserole à feu doux jusqu'à ce que la crème épaississe. J'ai alors éteint le feu, rajouté une pincée de sel, et une grosse noix de beurre et fouetté encore, plus on fouette plus c'est bon
. Puis versé dans deux coupes (trois en fait, y'a du rabe) et placé deux autres pétales de tulipe en déco comestible. J'ai goûté le fond de la casserole et le parfum est vraiment délicieux, très fin
.
Ronde de patates
tout simple, tout bon : une sauce avec du yaourt de brebis, une cuillère à café de purée de raifort, du persil, quelques feuilles de mélisse et deux fleurs d'alliaire, gaines de cumin, un filet d'huile d'olive, quelques gouttes de vinaigre de cidre et du gomasio, pour une betterave râpée et des patates tièdes qui font la ronde
*
Salade de patates ensauvagées
des patates cuites à la vapeur que j'avais en reste, un oignon, une poignée de respounchous blanchis quelques minutes et rincés à l'eau froide puis arrosés de vinaigre, une poignée de boutons de pissenlit (j'offre les corolles à mes semis de tomates, ils adorent ça), quelques feuilles de pissenlit, jeunes pousses de pimprenelle (au délicieux goût de concombre) dans une sauce faite avec du yaourt de brebis, une cuillère de moutarde, huile d'olive et gomasio. Déco comestible ; fleurs et petites feuilles d'alliaire, une fleur de pissenlit, quelques fleurs de pulmonaire.
Respounchous (pointes de tamier)
Pimprenelle sauvage
En exagérant un peu, dans les états totalitaires, c’est le pouvoir à la tête de l’État qui décide de la ligne du parti. Et chacun doit alors y adhérer et s’y soumettre. C’est différent dans les sociétés démocratiques. La ligne du parti n’est jamais énoncée comme telle, elle est sous-entendue. C’est dans ces présupposés qu’il pourra y avoir un débat passionné, mais qui se limitera à ce cadre précis. Dans les sociétés démocratiques, la ligne est comme l’air qu’on respire, elle est sous-entendue… Du coup elle donne l’impression qu’il y a un débat très vigoureux. C’est très efficace comme système et ça marche beaucoup mieux que dans les systèmes totalitaires.
in Chomsky & Cie
de très sinistre actualité...