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CATHY GARCIA-CANALES - Page 629

  • Auteur inconnu - Frances Denmore enregistre Mountain Chief, Blackfoot- 1916

    Frances Denmore Recording an Indian Man.jpg

    Frances Densmore (May 21, 1867 - June 5, 1957) était une ethnographe et ethnomusicologue américaine, deux divisions d'études de l'anthropologie. Elle a travaillé comme enseignante de musique avec des Natifs Américains dans tout le pays, tout en apprenant, enregistrant et transcrivant leur musique, et compilant des informations sur son usage dans leur culture. Elle a aidé à préservé cette culture à une époque où la politique du gouvernent était d'encourager les Natifs Américains à adopter les coutumes occidentales. Elle commença à enregistrer de la musique officiellement pour le Smithsonian Institution's Bureau of American Ethnology (BAE) en 1907. En plus de cinquante ans d'études et de préservation de la musique amérindienne américaine, elle a collecté des milliers d'enregistrements. de nombreux enregistrements qu'elle a faits sont conservés à la Library of Congress. Alors que les enregistrements originaux étaient souvent sur des cylindres de cire, un bon nombre d'entre eux ont été reproduits sur d'autres média et inclus dans d'autres archives. Elle est morte en 1957 à l'âge de 90 ans. 

     

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     Frances Densmore with American Indians outside of a tipi, 1900

     

     

     

     

     

     

  • Aaron Huey - La vraie histoire des prisonniers de guerre indigènes des Etats-Unis

     

    L'effort d'Aaron Huey pour photographier la pauvreté en Amérique l'a conduit dans la réserve indienne de Pine Ridge, où la lutte du peuple indigène Lakota — ignorée malgré la situation effroyable — l'a forcé à ré-orienter son travail. Dix ans plus tard, ses photos obsédantes s'entremêlent avec une leçon d'histoire choquante (la vraie histoire) dans cette allocution à TEDxDU.

     

     

  • Revue TRACTION-BRABANT 71

     

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    dixit Laurent Bouisset : Le numéro 71 de Traction-brabant, le poézine de Patrice Maltaverne, s'ouvre sur ces mots forts de Cathy Garcia (Chipunta Shilombish) de la revue Nouveaux Délits :

    "Le poète c'est un humain raté. Pollué de sensiblerie. Pas bon pour la course. Bon pour la casse. Drôle à casser."

    Drôle à casser... Pas étonnant que Patrice Maltaverne revienne quelques pages plus loin sur la figure de Buster Keaton, "l'homme qui ne riait jamais" mais faisait tellement rire pourtant...

    On pourra lire aussi cette association frappante de Marc Tison : "Une odeur de liberté et de pisse de chien mélangées",

    cette strophe forte de Chloé Landriot : "L'un pour l'autre nous sommes / Merveille / Cette étrange présence / qui ne s'habitue pas",

    le flot d'images rythmées de Samaël Steiner ("il a rêvé d'un homme mort / dans la montagne / sous le ciel rectangulaire / bleu / et des tambours qu'on aurait fait avec sa peau"),

    ainsi que le futur simple (et ouvert) de Karim Cornali : "Puis, heureux, / Nous regarderons l'immensité, / Comme toujours / Sans comprendre.",

    et plein d'autres "choses" pour seulement deux euros, rendez-vous compte, c'est carrément donné, c'est même offert ! A pas rater.

    (Publicitaire, le serai-je un jour ?)

     

    le blog de la revue : http://traction-brabant.blogspot.fr/

     

     

     

     

  • Defty K Menglesis

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    ça nous prend, ça nous tient, ça nous broie et ça nous valdingue dingue dingue

    les infos les réseaux les bombes les pubs les images les sons les épidémies

    et les innombrables prix

    la fonte des glaces la tonte des classes les premiers hurlements les derniers cris

    le grand cirque des médias fantasmatiques les succions les pressions le coma

    de l’éthique les claques et les cliques

    ça nous prend ça nous retourne et nous retourne encore

    ça nous décervelle nous ratatine

     

     

    in (c)Ourse bipolaire

     

     

     

  • Marc Chagall

     

    J’ai vu hélas dans la vie un cirque ridicule :

    Quelqu’un tonitruait pour effrayer le monde, et

    Un tonnerre d’applaudissements lui répondait.

    J’ai vu aussi comment on se pousse vers la gloire et

    Vers l’argent : c’est toujours le cirque.

    Une révolution qui ne conduit pas vers son idéal

    Est, peut être aussi, un cirque.

    Je voudrais toutes ces pensées et ces sentiments,

    Les cacher dans la queue opulente d’un cheval de

    Cirque et courir après lui, comme l’autre petit clown,

    En demandant la pitié afin qu’il chasse la tristesse

    Terrestre.

     

     

     

     

  • Parole de psy

     

    "Certaines personnes ont besoin pour vivre de projeter leur souffrance sur quelqu'un d'autre, elles projettent aussi les parties d'elles-mêmes qu'elles ne tolèrent pas en elles. Par exemple quelqu'un qui a un profond mépris de soi va traiter l'autre de manière méprisante, quelqu'un qui aurait tendance à s'angoisser va faire en sorte d'angoisser l'autre ou encore très fréquemment c'est la culpabilité qui est projetée. C'est une forme d'abus narcissique de l'autre qui est déchu de son statut d'être humain pour devenir une sorte de "poubelle" dans laquelle on déverse tout ce qui ne va pas. Et lorsque la violence monte d'un cran, on attaque chez l'autre ces côtés projetés de soi-même. Lorsque c'est à un enfant que le rôle de poubelle est dévolu, il y a de graves conséquences pour sa vie d'adulte puisqu'il va devoir évacuer à la place du parent toutes ces facettes noires qui de fait ne sont même pas les siennes. (...) Cette relation est éminemment destructrice "

     

    source : forum de psychologie.com