René Barjavel
Un dé à coudre rempli de tourbillons de rien: c'est l'humanité.
in La faim du tigre
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Un dé à coudre rempli de tourbillons de rien: c'est l'humanité.
in La faim du tigre
Si tu chantes la beauté, même dans la solitude du désert, tu trouveras une oreille attentive.
in Le sable et l'écume
Partir pour déchiffrer l'espace et les traces sur la draille, retrouver l'accent et les goûts rudes, les heures sans concession et certains soirs de défaite...
in Le grand chemin de Compostelle
Je clignai des yeux dans l'air étincelant
comme si les rayons du soleil étaient salés
in Une trop bruyante solitude
Elle a lampé à la bouteille un oubli aux couleurs de lune morte
in Barrio Flores
Tout l'argent qu'on dépense dans l'espace,
il est vraiment jeté par les fenêtres...
in L'intégrale des brèves de comptoir 1992-1993
Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel,
priez pour que ce ne soit pas le train.
le sens de chaque mot ressemble à une étoile qui projette des marées vives dans tout l'espace, des vents cosmiques, des perturbations magnétiques, des malheurs.
in Tous les noms
Roule, grande boule, fourmilière de consciences, terre, roule, teintée d'aurore, chapée de crépuscule, d'aplomb sous les soleils, nocturne, roule dans l'espace abstrait, dans la nuit à peine éclairée, roule...
in Le Gardeur de troupeaux et autres poèmes
Nous sommes de la même étoffe que les songes
Et notre vie infime est cernée de sommeil...
in La tempête
Il n'est pas seul celui qui peut toucher une bête ou un arbre, ou s'approcher avec ses yeux du brouillard bleu ou du soleil ; celui qui peut être fontaine ou ruisseau à la fantaisie du bruit de l'eau et qui peut couler comme elle avec le reflet de tous les ciels. Il n'est pas seul celui qui a goût au jour. Celui qui a un nez, une bouche, des yeux, des oreilles, une bonne chair d'animal. Tout lui tient compagnie. Il y a de grosses joies qui passent dans l'air du temps comme des poissons enflammés.
in Le bout de la route
Cet homme est comme une forêt, il se croit tout obscur, il est partout troué de rayons de soleil.
in L'Expédition
Le monde est infini non seulement dans toutes les directions de l'espace, mais aussi dans ses vérités.
in La faim du tigre
Je ne veux pas recevoir d'argent pour avoir entravé un homme
Jo le forgeron,
in l'adaptation cinématographie des Grandes Espérances, de Charles Dickens
Quelquefois je me demande ce que nous sommes en train d'attendre. Silence. - Qu'il soit trop tard, madame.
in Océan Mer