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RÉSONNANCE & COPINAGES - Page 25

  • Mathieu Slama - Adieu la liberté Essai sur la société disciplinaire

    Après l'autorisation de sortie, le pass sanitaire, le pass vaccinal voici maintenant le certificat de rétablissement valable 4 mois...... je m'exprime rarement et encore moins publiquement sur ce que nous font vivre covidoux/covidur mais surtout ses marionnettistes, estomaquée la plupart du temps par l'enchainement qui ne laisse place à aucun recul et voudrait par-dessus le marché (de la finance) nous interdire toute réflexion, avec ça le nauséabond de l'approche à pas de fourbes des élections.... Étymologie : XIe siècle, eslire, « choisir ». Emprunté du latin populaire "exlegere", réfection, d’après legere, du latin classique eligere, « arracher en cueillant, choisir, trier, élire ». Choisir, trier.... On voit bien à quel point élire a été vidé de sons sens, car si personnellement je pouvais réellement choisir et trier, ils dégageraient tous.... Bon, suis tombée ce matin sur ce bouquin, je ne l'ai pas lu mais il a le mérite d'exister, souffle d'air, je mettrais un bémol sur le mot "science" et je remplacerais par "le casino de la science".... Cette disparition de la liberté ne date pas de 2020, elle est progressive, insidieuse et planifiée depuis bien plus longtemps.... Je ne suis donc pas surprise, loin de là, les années 80 commençaient déjà à sonner le glas en nous endormant sous des couches et des couches de consommation, nous avions obtenu trop de marge, nous les peuples "libérés" de l'après-guerre mais l'accélération des deux dernières années ceci dit m'a prise de court comme bon nombre d'entre nous, je n'en ai pas perdu pour autant ma capacité à observer et réfléchir...
     

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    "La crise du Covid-19 a révélé un nouveau totalitarisme « soft » fondé sur une idéologie du « safe ». Dans cet essai incisif, Mathieu Slama analyse les faits et les mots qui ont fait croître l'acceptation de la servitude chez un peuple pourtant réputé rebelle depuis la Révolution.
    Avec l'assentiment d'une majorité de Français, une société de l'ordre et de la surveillance s'est installée ; la démocratie est devenue management, le politique s'est effacé devant la science et les citoyens libres se sont transformés en population docile à discipliner.
    Une éclipse de la liberté préparée de longue date par des renoncements successifs, rendant inéluctable l'avènement, comme l'écrivait en 1977 Gilles Deleuze, de "ce néofascisme, qui est une entente mondiale pour la sécurité, avec organisation concertée de toutes les petites peurs, de toutes les petites angoisses qui font de nous autant de microfascistes, chargés d'étouffer chaque chose, chaque visage, chaque parole un peu forte, dans sa rue, son quartier, sa salle de cinéma". "
     
     
     
  • Michaël Serfaty

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    "« Je ne trahis pas, je témoigne. Je ne révèle pas, je m’insurge. Je ne dévoile pas, je crie. », écrit Michaël Serfaty, gynécologue et photographe.

    Depuis trente ans, dans un volumineux carnet d’artiste – composé de dessins, de bouts de scotch, de ficelles et de tissus, d’images collées, de menus objets, de tickets divers -, il note des phrases, des fragments d’histoires, des réflexions émises par les patientes reçues dans son cabinet.

    Un livre publié par Arnaud Bizalion Editeur, avec qui il avait déjà réalisé en 2019 Les Bras du séquoia, recompose cet ensemble très riche, surtout très émouvant, et totalement personnel dans la traduction en gestes plastiques des paroles fondamentales qu’il entend."

     

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    Michaël Serfaty, Je vous écris avec la chair des mots, textes de Sylvie Hugues et Marie Darrieussecq, graphisme et maquette Marie-Anne Hauth, Arnaud Bizalion Editeur, 2020

    Voir sur le site de l'artiste auteur :

    https://www.michael-serfaty.com/je-vous-%C3%A9cris

     

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  • Guénane Cade

     

    Si ta mémoire mesure le temps
    évite la dangereuse nostalgie
    se pencher à la portière de sa vie
    c’est déjà la Patagonie

    le même vent te précède
    te suit  te délie
    t’enracine d’un revers
    le vent est libre
    les souvenirs aussi


    in Ma Patagonie

     

     

     

  • Frida Kahlo

    Tellement absurde et éphémère est notre passage dans ce monde, que la seule chose qui me rassure c'est la conscience d'avoir été authentique... D'être la personne la plus ressemblante à moi-même que j'aurais pu imaginer.

     

     

  • Bolo'Bolo de P.M.

    411V1dh2WzL._SX195_.jpgLivre gratuit en cliquant sur le lien en bas de cette présentation :
     
    "Bolo’Bolo est un essai écrit en 1983 par le mystérieux « PM », un écrivain suisse de langue allemande que l’on suppose né en 1946 (à moins qu’il ne s’agisse d’un non moins mystérieux collectif « Post-Moderne »). Après avoir rappelé les horreurs bien connues de la « Machine Travail » planétaire, PM propose un nouvel agencement qui nous permettrait de lui échapper. Cet agencement repose sur les « bolos », des sortes de communautés productives, dotées d’une identité culturelle particulière, des « foyers d’appropriation des valeurs d’usage » susceptibles de se fédérer librement dans des ensembles plus vastes. Une nouvelle langue l’« Asa’Pili », est élaborée pour définir les éléments de bases du nouveau contrat planétaire qui lie les bolos entre eux.
    « BOLO‘BOLO est l'une de ces manœuvres irréalistes, amorales et égoïstes qui détournent l'attention des luttes contre le pire. BOLO‘BOLO est aussi une modeste proposition pour un nouvel arrangement sur notre vaisseau spatial après la disparition de la Machine. ». En 1998, Bolo’bolo a été enrichie d’une préface intitulée « La mort lente de l’économie », dans laquelle PM nous donne quelques indications sur les possibles manières de réaliser Bolo’bolo et sur la phase de transition qui doit nous y conduire.
    Grand classique de l’utopie, Bolo’Bolo est un catalogue génial, une réserve d’idées lumineuses ou loufoques, une provision de solutions pratiques, que chacun pourra employer pour construire le nouveau monde !
     

  • Pascal Perrot

     

    dans chaque prison est

    une possible étoile

    et dans chaque astre errant

    promesse de geôle

    il faut quitter à temps

    ce qui nous définit

    pour arrimer ailleurs

    nos fièvres et nos faims