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CATHY GARCIA-CANALES - Page 29

  • ©Ourse (bi)polaire lu par...

    ©Ourse (bi)polaire est un livre que je devais faire, et au bon moment, ce qui est donc fait pour clôturer cette terrible année 2024. Je ne suis pas étonnée des réactions qu'il suscite.

     

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    "j'achève juste ©Ourse (bi)polaire. C'est .... tremblement de terre+éruption volcanique+tsunami !!! Une vraie course de l'ourse au milieu des obstacles de sa vie. Un slalom spécial ou plutôt un fil ténu (dé)tendu entre désespoir, colère, impatience et sapience : a 'long and winding road' s'il en est.
    Un choc violent.
    Je comprends que la rédaction/publication de ce recueil-divan te fut indispensable. Une borne déposée brute et vrac au bord de ta nouvelle route... dans l'espoir d'un pied plus léger."
    Jean-Louis M.

     


    Et une note reçue de mon amie poète et auteur Guénane :

     

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  • Revue Nouveaux Délits n°80

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    Que 2025 soit, c’est certain, puisqu’il en a été décidé ainsi et que cette date grégorienne a pris le dessus sur les autres. Tenter d’appréhender l’être humain dans son Histoire, dans son présent, dans ses projections, dans ses éclatements, sa diversité, sa beauté indissociable hélas de sa cruauté, son intelligence et sa folie, bref NOUS appréhender NOUS et toutes celles, ceux et celleux qui ont du mal à se retrouver dans le NOUS qui les englobe ou cherche à les englober, ces multiples NOUS qui s’affrontent avec de multiples VOUS, les AUTRES ; qui s’agressent, se détruisent, s’interdisent, se fuient ou s’ignorent, c’est vertigineux. Regarder, se regarder simplement soi-même, c’est vertigineux. Les voix qui semblent les plus fortes sont vieilles, usées, répétitives et pourtant elles impactent car elles rassemblent sous leurs ailes dures d’innombrables peurs, de terribles ignorances. En a-t-il toujours été ainsi ? Usées et répétitives. De même, ces éditos qui voudraient pouvoir se réjouir d’un authentique neuf, d’un ressourçant innovateur, d’un audacieusement salvateur, de ce qui peine à être essayé en grand puisque toujours étouffé, écrasé, nié, moqué, enfermé, abattu. Et qui persiste pourtant, se relève encore et encore, perce la croûte épaisse des obscurantismes redondants, du monopole d’idéologies mortifères. Et quoi d’autres encore une fois que la force incroyablement habile de la vie qui insiste, malgré cet acharnement à la détruire, et nous montre la voie ? Les vents, les vagues, la pluie, les rivières, les océans, les plantes, les montagnes, les animaux, les insectes, les champignons, les bactéries nous montrent la voie mais aussi ce qui reste des humanités qui ne l’ont jamais quittée et qui ont tant souffert et souffrent encore pour ne pas dévier. La seule voie viable : comprendre notre responsabilité et notre place dans le grand orchestre du vivant et de nous y tenir comme on tient une promesse. Alors 2025, oui, c’est l’identifiant de cette nouvelle année, et 2026, 2027, 2057, seront un enfer ou un monde plus accueillant selon la voie que nous allons emprunter. Et le goulot des choix collectifs, comme dans le cours d’une vie individuelle, se resserre, les conséquences sont de plus en plus immédiates et irréversibles. Alors quelles voix allons-nous écouter ? Celles qui assourdissent le plus, artificiellement légitimées par leurs excroissances technologiques toujours plus infiltrées ou les quasi imperceptibles qui font pousser la plante, l’arbre, digérer les vaches, tomber les pluies, chanter les océans ? Je me répète aussi et continuerai à le faire car dans cette répétition, je ne sens rien d’usé mais bien au contraire, j’entends des paroles d’eau à user le béton, à rouiller les armes, à fertiliser chaque bout d’espace atteint en l’autre malgré les barrages. J’entends des paroles de vent à secouer les inerties, abattre les murs de séparation, des paroles de feu à brûler les scories des mondes tristes et méchants dont NOUS ne voulons plus, des paroles de terre qui savent quand il faut parler et quand il vaut mieux…. se taire. Aussi…

     

    Meilleurs vœux de meilleure humanité !

     

     

    CGC

     

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    Sommaire et + ici : 

    http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2025/01/03/nouveaux-delits-n-80-6529566.html

     

     

     

     

  • Topinambours lactofermentés

    Bilan de ma première expérience en lactofermentation, deux gros bocaux et un petit, le petit, je l'ai jeté, l'odeur, le goût.... Peut être pas assez de sel, ouvert trop tôt ou la flemme de stériliser le bocal avant, comme j'avais fait pour les deux autres, bref... Par contre, les deux gros, délicieux, comme je les avais ouverts suite à la déception du premier, ils sont au frigo où ils continuent de "mûrir". Et donc, les rondelles sont croquantes et acidulées, goûteuses et délicieuses mélangées avec diverses salades (chou chinois et roquefort, carottes râpées... ici carottes, betterave chioggia et ail, où je remplace le vinaigre par un kombucha cacao, gingembre confit, épices trop acide pour être consommé en boisson...). Bref, une très bonne façon de préparer les topinambours qui deviennent ainsi très digestes, je suis contente, j'adore les premières expériences surtout quand elles ne sont pas trop ratées et le coût proche de zéro, le sel et les baies rouges, tout le reste, c'est jardin, les topinambours étaient déjà là et source pour l'eau.

     

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