Pablo Neruda
Nos ennemis peuvent couper les fleurs
mais ils ne seront jamais les maîtres du printemps.
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Nos ennemis peuvent couper les fleurs
mais ils ne seront jamais les maîtres du printemps.
Croire l'histoire officielle, c'est croire les criminels sur parole.
un brin de folie clandestine en guise de corde
les parois du rêve sont glissantes
cg in Toboggan de velours
Le cercle intuitif demeure vivant de paradigme en paradigme.
Un labyrinthe affamé d’humanité.
cg in Les mots allumettes, Cardère éd. 2012
L'homme est un enfant qui s'est bouché.
in Mes inscriptions (1943-1944)
Tout ce qui furète, grignote tout alentour, c’est le rien qui passe. Un oiseau, le frou-frou de ses ailes… Dans le buis, il y a un elfe, si je tends la main, il la caresse.
cg in Calepin paisible d'une pâtresse de poules
Nouveaux Délits, coll. Les Délits vrai, n°2, 2012
Tiziano, 6 ans
Azul, 4 ans
L’amour est un cloporte schlass
Qui cuve sous un vieux pot
À fleurs
Ne l’ennuie pas !
Ne le réveille pas !
Ne l’écrase pas !
Peut-être que comme dans les contes
Quand l’immonde bestiole
En sera quitte
De sa gueule de bois
Elle se transformera
En princesse charmante !
in Une femme à gros seins qui court le marathon
Rouge la fatigue, rouge le sang qui pisse, c’est l’intérieur qui saigne, le ventre, le sexe, c’est la femme qui saigne et se vide et se contracte de douleur et la fatigue immense, la voix qui se casse, le pied enflé, les jambes lourdes d’hérédité, le refrain des pertes qui se répète, de l’injustice vrillée aux tripes.
cg in Le livre des sensations