Jorris Martinez

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PÈRE MÈRE
on persévère
on perd ses rêves
père disparu
et tout amour
quand la mère
n’est qu’amère.
in Mon collier de sel

Le boa et le cheval mort sont une même nuit
Et le matin le soleil ouvre le ventre du serpent
Couteau de lumière

Tout ce qui vous distingue vous isole.


Fuis dans la solitude, mon ami ! Je te vois assourdi par le bruit des grands hommes et déchiré par les aiguillons des petits. Dignes, forêt et rocher savent se taire en ta compagnie. Sois de nouveau semblable à l'arbre que tu aimes, celui aux larges branches : silencieux, aux écoutes, suspendu au-dessus de la mer
in Ainsi parlait Zarathoustra

La blessure est à l’endroit où la lumière entre en vous.

Vivre à moitié, c’est quand on est seul;
vivre pleinement c’est quand on l’a compris.

Je suis sauvage, rebelle, solitaire. J’aime les gens autant qu’ils m’insupportent. Très peu arrivent à franchir le mur qui me sépare irrémédiablement des autres mortels. Je suis bizarre, mal dans ma tête depuis bien trop longtemps, dans ma peau aussi, à ne plus savoir ni qui je suis, ni pourquoi.
cg in Journal 2002