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  • Allan Jenkins

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    Mel"s profile, 1999

     

     

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    Marie Royce hands, 2004

     

     

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    Asparagus

     

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    Cuba

     

    Photographe free-lance, né au Pays de Galles, Allan Jenkins a grandi en Catalogne, a étudié à Madrid, Tarragona, Yorkshire et finalement à Londres où il vit et travaille depuis 1993.

    Sur le net, on trouve peu de photos intéressantes à copier-coller, donc je vous invite à aller voir son site, que ce soit ses Urban portraits, ses portraits végétaux (ha, ses poires !), quelques-uns de ses Nus ou des photos de Cuba, les perles sont là, et elles sont belles !

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    http://www.allanjenkins.com/

  • Cécile Lelièvre

    Elle peint et elle sculpte, et moi ce sont ses déesses mères qui m'ont fait de l'oeil.

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    Attente

     

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    Désir

     

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    Rêves

     

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    "Née en 1969, j'ai fréquenté des ateliers de dessin, peinture et sculpture pendant 15 ans. J'expose peintures et sculptures en France (Paris, Lyon, Saumur, Charenton, Saint Gervais...) depuis une dizaine d'années. J'anime des ateliers d'arts plastiques et de sculpture-modelage à Maisons Alfort (Val de Marne)."

    http://cecile.lelievre.googlepages.com/home

     

     

  • Caroline Secq

    Art du glanage sur la plage, art de la récupération, de l’assemblage et de l’art-cumulation.


    "Je joue de toutes les matières, mais uniquement celles que me fournit l’océan," explique-t-elle. "Bouts de bois, plastique, ficelle, choses, rêve, trucs bidules et machins… machouillés, triturés, déglutis par les flôts. J’amasse et ramasse des bouts, débris, brisures, fracas et carcasses, et j’utilise tout tel que." Mais dans l'atelier Caroline Secq transforme tout: "L’œil et la main butinent et voltigent sans préméditation. J’emboite, construis, superpose, juxtapose, compose…."

    Et souvent, ses créations servent de rappel, miroir de notre monde, de nos modes de vie basés sur l'ultra consommation, le gaspillage, où le superflu cotoie l'inutile. Pollution du tout à jeter, voici des tableaux comme des totems, non dénués d'humour, marquant le territoire souvent absurde des hommes.

     

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    Ce fut une belle petite planète

     

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    Château très très fort, 2007

     

     

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    Les temps modernes, 2009

     

     

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    Grande verte, 2009

     

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    Grand banc de sable, 2010

     

     

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    Bleu des mers (des) du sud, 2010

     

     

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    Ivoire dans le noir, 2010

     

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    Apartheid W, 2010

     

     

     

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    Apartheid B, 2010

     

     

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    Mer-veille, 2011

     

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    La mort du petit cheval, 2011

     

     

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    Red Big Bang, 2012

     

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    On est footus, 2012

     

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    Même en rêve, 2013

     

     

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    Kucina

     

     

    De l’art d’accomoder les restes !

    J’avance par strates, par couches, par superposition et sédimentation.
    Je construis ce qu’il en est avec ce qu’il en reste.
    Inlassablement,je ramasse sur les plages, et je montre ce qu’il en restera, d’ici, de nous, de l’environnement, du temps, le nôtre.

    Voyage paradoxal qui va du rebut au re-beau...
    D’un côté le déchet, rejeté dans tous les sens du terme, celui que l’on ne voit plus ou que l’on voudrait ne pas voir, à défaut de pouvoir l’éradiquer.
    De l’autre l’incroyable beauté de ces restes échoués, fragments d’une autre vie, oubliés, consommés, morcelés, abandonnés.

    Sur le sable mouvant de ce paradoxe, je construis des architectures improbables, des reliefs de civilisation, des bidonvilles de plage, de la poésie plastique, des tapisseries aquatiques. Assemblages de morceaux d’utile ou d’incroyable qui se donnent bruts, tel que, dans leur beauté intrinsèque, sans ajout, ni peinture ni transformation.

    Immersion dans la « Dérision de nos dérisoires », invitation au tourisme anthropoplagique, dérive sur les rivages d’une société en décomposition, réflexion sur origine et devenir, esprit et matière, sens et renaissance...
    Regardez bien, mes plages sont des miroirs.

     

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    http://www.carolinesecq.com/

  • Alfred Horsley Hinton

    Né en 1863 et décédé en 1908, l'année de naissance de ma grand-mère. Son nom ne figure pas dans beaucoup de livres sur l’histoire de la photographie. Il a été membre fondateur de la Fraternité de l’Anneau Lié (1892) et rédacteur de Photographe Amateur (1893-1908). Formé dans l’art, il est devenu un journaliste, éditant le Journal Photographique D’art (1887-91) et les Photographies de l’Année (1892). Ses photographies de paysage ont exploré le sentiment autant que la composition. Il a trouvé l’inspiration dans des flaques boueuses emplies de vase peu pittoresques à marée basse les jours d’hiver. La plupart de son travail a été perdu après sa mort.

    La patine du temps a donné à ce qu'il en reste un charme certain, qui ne peut que chatouiller les âmes romantiques... Me plaisent ces landes, ces cours d'eau, ces ciels tourmentés et cette lumière. Il y a là, non pas quelque chose de spécialement original, mais quelque chose d'intensément poétique.

     

     

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    La lande sauvage, 1897

     

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    Suffolk, 1898

     

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    Gathering weather, 1898

     

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    Sunshine and rain, 1903

     

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    Rain from the hills, 1905

     

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    Summer clouds, 1907

     

     

     

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            Alfred Horsley Hinton

     

  • Alfred Cheney Johnston

    Né à New-York le 8 avril 1885, mort le 17 avril 1971. Après une formation en tant que peintre, qui ne lui ouvre pas les portes du succès, il se tourne vers la photographie à lquelle il s'était toujours intéressé et qui lui servait comme base pour ses créations. Sa carrière débute alors très fort vers 1917, lorsque Flo Ziegfeld l’engage pour immortaliser sa revue de danseuses, les Ziegfeld Girls. Il y passera 15 ans.

    Passent alors devant son objectif toutes les stars hollywoodiennes du cinéma muet des années vingt dont Gloria Swanson, Lilian et Dorothy Gish, les Dolly Sisters, etc…

    C’est son sens très développé des drapés qui valut alors bientôt à Alfred Cheney Johnston le surnom de ‘’Mr. Drape’’. Cependant, avec la mort du cinéma muet de nouveaux photographes prirent sa place et il fût longtemps oublié. Il se retira dans le Connecticut où il se consacra uniquement au nu. Il est aujourd’hui encore rare sur le marché de l’art.

    Tout son travail rend hommage à la beauté et quelques-uns de ces clichés sont vraiment troublants, outre leur glamour forcément séduisant, on sent à quel point celui que l'on connaissait sous le nom de Cheney, devait être amoureux des femmes.

     

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    Peggy Shannon

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    Myrna Darby

     

     

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    Dolores Costello

     

     

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    Helen et Dolores Costello

     

     

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    Drucilla Strain, 1929

     

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    Peggy Morgan, 1937

     

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    Alfred Cheney Johnston

     

     

  • Carlos Schwabe

    Né à Altona-Hambourg, Allemagne en 1866. Artiste-peintre, résident puis naturalisé en Suisse, il vécut en France de 1884 jusqu'à sa mort en 1926.
      
    Ce qui me frappe chez lui, c'est que ses personnages féminins sont souvent effrayants, terribles, accusateurs, diaboliques, comme l'image toute puissante de la tentatrice dans la poésie de Baudelaire, ou alors ce sont des personnages au contraire très virginaux. Son style angulaire deviendra plus souple et plus lumineux avec le temps, et il peindra Le Faune, en 1923, soit 3 ans avant sa mort, une toile qui serait un autoportrait. On ne peut qu'y voir la résurgence d'un masculin puissant et païen qui peut faire face au féminin dévorateur qui semble hanter son oeuvre. A replacer bien-sûr dans un contexte de l'époque, à la fois fortement tourné vers l'occultisme et toujours marqué par le poids du judéo-christianisme.

     

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    La douleur, 1893

     

     

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    Medusa, 1895

     

     

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    La Mort et le fossoyeur, 1895-1900

     

     

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    Les Fleurs du Mal, 1896

     

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    Fleurs du Mal, 1900

     

     

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    Le Tonneau de la Haine (Les Fleurs du Mal), 1900

     

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    La Vague (étude), 1906

     

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    La Vague, 1907

     

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    Spleen et idéal, 1907

     

     

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    Spleen et idéal, 1907

     

     

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    Pommiers fleuris, 1912

     

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    Le Faune, 1923

     

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    Autodidacte doué d'une sensibilité névrotique, il ne connaît aucune formation académique à l'exception de l'école des arts industriels de Genève où il apprend à dessiner les plantes et à aiguiser son sens du décor. Visionnaire, mystique et éminemment solitaire, il est pourtant vite mêlé aux cercles parisiens les plus actifs et devient un des plus brillants auxiliaires du Sar Péladan. Il réalisera la première affiche du Salon de la Rose-Croix. Son art du dessin et son idéalisme lui valent de devenir un illustrateur renommé : Stéphane Mallarmé, Albert Samain, Charles Baudelaire, Émile Zola dont il orne le Rêve, Maurice Maeterlinck, José-Maria de Heredia, Pierre Louÿs, Catulle Mendès, Félicité de Lamennais, Edmond Haraucourt, Olive Schreiner, Charles Desfontaines (alias Baron Henri de Rothschild) etc. Sa conception originale de l'art de l'illustration est considérée comme une étape majeure dans l'évolution de cette discipline.

    (source : Wikipedia)

  • Carles Gomila

    Artise peintre né en 1978 sur l'île de Minorque, Baléares. Il peint à l'huile, principalement des personnages féminins au glamour adolescent, une inspiration latine qui jongle entre les styles, les symboles, puisant ci et là, de Velasquez aux mangas japonais, en passant par les arts décos, mais avec au final une touche surréaliste ponctuée de clins d'oeil, assez personnelle. Son style est agaçant par sa légereté si l'on n'en perçoit pas aussi la touche de dérision. Peu de ses oeuvres me plaisent, mais j'avais quand même envie de vous les présenter :

     

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    Milky Virgin

     

     

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    Drama clown

     

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    Retrodiva

     

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    Grafitti

     

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    Expectadiva

     

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    Love is the hair

     

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    Spanish fortune teller

     

     

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    Minotaure

     

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    http://www.carlesgomila.com/

     

     

  • Alen MacWeeney

    Alen MacWeeney est né (en 1939) et a étudié à Dublin. Il a commencé sa carrière photographique à l'âge de 16 ans, en tant que photographe de presse pour l'Irish Times. En 1961, il se rendit à New York pour travailler comme assistant de Richard Avedon. Pendant cette période, il a également étudié avec le célèbre graphiste Alexey Brodovitch à la « Design Lab » à New York. Basé à New York, depuis lors, il a travaillé en tant que photographe éditorial et commercial. La majorité de son travail consacrée aux portraits de studio, à l'environnement, à la mode, il fait des voyages à des fins éditoriales, pour des entreprises et la publicité. Il entreprend également de nombreux projets personnels.

    Et c'est là que cela devient intéressant.

    L'Irlande a été le centre de ses projets personnels photographiques : "Portraits du clergé catholique"  (1962-63), les images reflétant la poésie de WB Yeats (1965-66), "Le conflit en Irlande du Nord" (1971) et "Stone Walls" (1984-1986). Le projet par lequel j'ai découvert ce photographe, c'est celui qu'il a mené avec les travellers irlandais, et qui a marqué le début d'un engagement profond avec ces gens du voyage irlandais, appelés aussi tinkers. De 1965 à 1971, il a photographié ceux de Dublin et de l'ouest de l'Irlande. Les portefeuilles de ses travaux ont été publiés dans Creative (1967), Ouverture (1980), Ais Eiri (1981) et Photographes international (1996).

    Pendant son temps passé avec ces travellers, il a enregistré une quantité importante de leur histoire orale, de leur musique et de leurs chants.

    Ce qui a donné lieu un disque vinyle  intitulé Gens du Voyage de l'Irlande (Lyrichord New York, 1967) et une collaboration à l'ouvrage " Puck " des Droms avec Artelia Cour (University of California Press, 1986). Un livre, Tinkers No More (avec un CD de chansons et de musique) a été publié par la Nouvelle-Angleterre College Press, NH, en juin 2007.

     

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    Un film aussi en 2001, Traveller : http://directory.irishfilmboard.ie/films/260-traveller
     

    Un CD de contes et de chansons a été publié en 2003 alors que se préparait un double CD anthologique de la musique pour les archives de musique traditionnelle irlandaise à Dublin. Les photographies ont été exposées à la National Archive photographique à Dublin, en Octobre 2000 et au Collège Moore of Art, Philadelphie, en 1996, ainsi qu'à New York , Paris et Boston en 2007.

    MacWeeney vit à New York et à Sag Harbor.

     

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    Il a aussi fait de très beaux portraits

     

     

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    et quelques nus

     

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    http://www.alenmacweeney.com/

  • Ákos Majora

    Né en 1974, ce photographe hongrois a travaillé pendant dix ans en agence de publicité avant de se lancer en 2010 comme designer et photographe freelance.

    Son travail s'attache surtout aux paysages, attiré par le blanc, le vide, les lignes de fuite, l'espace. On sent le besoin d'évasion, de respiration. Certains de ces clichés méritent qu'on s'y attarde. Ce sont de véritables poèmes visuels, épurés comme des haïkus.

     

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    "J’aime particulièrement ces minutes juste avant la pluie, le silence de la première neige, les journées mélancoliques et la tristesse qu’apporte le brouillard. Le plaisir de vivre ces moments, pour moi, c’est la partie la plus importante de mon travail"

    (extrait d'un interview sur : http://www.le36dumois.com/blog/tag/akos-major/)

     

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    http://akosmajor.com/

     

  • CAO Weihong

    Artiste chinois, né en 1971 à Baoding, Province de Hebei. Se sert d'un moyen ocidental, la peinture à l'huile, pour exprimer et accentuer intentionnellement un univers profondément chinois, avec des femmes dénudées, ce qui pour l'artiste représente "la chasteté et la pureté spirituelle", souvent occupées à ne rien faire, et toujours dans des attitudes élégantes, paisible et délicates, comme des miniatures posées au sein d'un décor inspiré par l'art et le mobliier de la Chine ancienne et traditionnelle.

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    "Mes œuvres, sont issues de méditations sur la conscience féminine dans la culture traditionnelle, elles sont des métaphores de ma sympathie et de ma pitié pour le sort des femmes chinoises des anciens temps. J'ai toujours eu un vif intérêt pour de nombreux aspects de la culture traditionnelle chinoise, notamment  le mobilier, la décoration et les coutumes des dynasties Ming et Qing, ces choses constituent la majeure partie de mes oeuvres. De plus, j'éprouve un sentiment particulier à l'égard des objets de la vie des femmes de ces temps là, chaussures brodées, sous-vêtements, la soie, les mouchoirs, les bracelets de jade , les sacs, les coussins parfumés brodés, les rideaux, les vases et les fruits sur la table etc. " (traduction CG)
     
     

     

  • A. Aubrey Bodine

    A. Aubrey Bodine né en 1906 à Baltimore aux Etats-Unis, était un photographe dans le style pictorialiste, qui a travaillé au Baltimore Sun pendant 50 ans - de 1920 jusqu'à sa mort en 1970. Il a immortalisé la vie quotidienne et les paysages du Maryland, notamment la vie du port de Baltimore. Ce qui m'intéresse, outre que j'aime beaucoup le noir et blanc, c'est la beauté de certains de ses clichés, où on sent l'oeil de l'artiste.

     

    Two nuns, 1934

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    Tattoo parlor, 1934

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    The big freeze

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    1940

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    Baltimore, 1945

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    Long Dock, Baltimore Harbor, 1947

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    Oyster tonger, 1948

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    Baltimore harbor - Journey's end, 1950

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    Worthington Valley, 1960

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  • Bruno Torfs

    Bruno Torfs est né et a grandi en Amérique du Sud, avant d’émigrer en Europe à l’âge de 15 ans. Là, il vit en vendant ses toiles et ses sculptures d’argile cuites au four, se marie et voyage beaucoup. Puis, nouveau changement de vie : direction l'Australie, dans une petite ville nommée Marysville, située à un peu moins de 100 kilomètres de Melbourne.

    Marysville est une petite bourgade dotée d’un climat plutôt enviable, littéralement cernée par une forêt luxuriante, et c’est ici que Bruno Torfs décide d’installer son jardin. Il s’agit d’utiliser cet écrin naturel pour y présenter plusieurs centaines de sculptures tout droit sorties d'un imaginaire féérique.

    Le succès est immédiat : les jardins de Bruno Torfs accueillent rapidement des milliers de visiteurs. Mais en 2009, c’est le drame : Marysville et sa forêt sont détruites par un incendie meurtrier, qui ravage également la maison familiale et la galerie.

    La famille Torfs décide néanmoins de rester sur place et de travailler à re-créer leur habitat, et les jardins qui l’accompagnent. Bien entendu, la nature n’a pas encore repris l’exubérance d’avant cet événement, mais l’impressionnant travail de la famille Torfs, aidée par de nombreux amis et bénévoles, a permis aux visiteurs de bénéficier de l’atmosphère particulière du lieu.

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